Généralités en élevage

soleil couchant champ agriculture

Les animaux d’élevage ont une température de « confort »

La température de confort est la zone de neutralité thermique. En dehors de cette zone, l’animal dépense de l’énergie pour maintenir sa température corporelle stable. En conséquence, on observe une baisse de la production.

De plus, le stress thermique induit aussi une baisse d’immunité qui rend les animaux plus sensibles aux agressions extérieures. Dans certains cas, la thermorégulation peut aussi entraîner des changements de comportement. Par exemple, une augmentation du rythme respiratoire, des animaux agités, etc… Le stress thermique affecte aussi la reproduction des mâles comme des femelles avec une baisse de la fertilité.

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Par ailleurs, les animaux récupèrent lentement. Pour ceux à cycle long comme les ruminants, les performances peuvent baisser plusieurs mois après la période chaude. Pour les reproducteurs, le stress thermique entraîne une sensibilité accrue de la descendance : poids à la naissance, immunité.

En conclusion, pour soutenir les animaux pendant cette période, le Groupe CCPA innove avec des solutions nutritionnelles naturelles qui agissent sur les causes et les conséquences du stress thermique.

Intégrant des formules complexes et synergiques, les seules à pouvoir agir sur ces différents niveaux, les produits sont spécifiques à chaque espèce. Les effets sont visibles rapidement.

Aperçu des conséquences du stress thermique chez les animaux

Figure 1. Conséquences du stress thermique sur les animaux

D’ici 2025, +25% de jours de stress thermique

Figure 2. Évolution temporelle des anomalies de température moyenne en été en France par rapport à la climatologie 1976-2005 simulée par les modèles EURO-CORDEX (simulations historiques : gris, RCP4.5 : vert, RCP8.5 : rouge). Les lignes pleines donnent la médiane, les lignes ombrées et les lignes pointillées donnent l’enveloppe définie par la plage du modèle [25-75%] pour chaque scénario. Les séries chronologiques sont lissées par une régression polynomiale. (Reproduit de Ouzeau et al., 2016).

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